Sauf urgence, je n’interviens qu’après conclusion d’une convention d’honoraires qui définit clairement le champ de mon intervention et le montant, le mode de détermination et les modalités de règlement des honoraires que le Client sera amené à exposer.

En matière d’honoraires, deux questions reviennent régulièrement :

  • Quels sont les honoraires pratiqués par votre cabinet ?
  • Acceptez-vous l’aide juridictionnelle ?

Maître, combien cela va-t-il me coûter ?

Les honoraires du cabinet sont fixés, selon les règles déontologiques de la profession d’Avocat, selon un certain nombre de critères, qui sont les suivants :

  • le temps consacré à l’affaire ;
  • le travail de recherche ;
  • la nature et la difficulté de l’affaire ;
  • l’importance des intérêts en cause ;
  • l’incidence des frais et charges du cabinet de l’Avocat ;
  • la notoriété, les titres, l’ancienneté, l’expérience et la spécialisation de l’Avocat ;
  • les avantages et le résultat obtenus au profit du Client par son travail, ainsi que le service rendu au Client ;
  • la situation de fortune du Client.

Le montant des honoraires et leurs modalités de paiement sont donc variables et il n’est pas possible, avant échange avec le Client sur son dossier et sa situation financière, de fixer une grille ou un barème d’honoraires pré-établis.

Maître, acceptez-vous les dossiers à l’Aide juridictionnelle ?

Sauf exceptions, je ne traite pas de dossiers à l’aide juridictionnelle.

J’interviens déjà environ une semaine par mois dans le cadre de « permanences pénales », lors desquelles la plupart des dossiers que je traite le sont à l’Aide juridictionnelle.

L’Aide juridictionnelle, qui permet la prise en charge des honoraires de l’Avocat par l’État suivant un barème pré-établi, ne rémunère malheureusement pas à sa juste valeur le travail de l’Avocat.

Par conséquent, hors ces périodes de permanence pénale et sauf exceptions, je ne peux me permettre, pour la viabilité financière de mon cabinet, de traiter davantage de dossiers à l’Aide juridictionnelle.

Toutefois, en cas de violation manifeste de vos droits, d’injustice, de situation grave ou de problématique juridique particulière, je ne peux qu’accepter d’aider certaines personnes au titre de l’Aide juridictionnelle ou pro bono (c’est-à-dire sans être rémunéré de quelque façon que ce soit, ni par le Client ni par l’État) en vertu de mes obligations déontologiques d’Humanité et de Désintéressement.

Je vous invite donc à me contacter, même si vous n’avez pas les moyens de vous offrir les services d’un Avocat, et je vous indiquerai s’il m’est possible, en fonction des éléments fournis et de votre situation particulière, de traiter votre dossier.

Pour savoir si vous êtes éligible à l’aide juridictionnelle, vous pouvez effectuer une simulation sur le site internet dédié, à l’adresse suivante : https://www.aidejuridictionnelle.justice.fr/simulateur